ISRAEL, Jonathan Irvine, 2007. « Spinoza as an Expounder, Critic, and “Reformer” of Descartes », Intellectual History Review, n. 17.1, p. 41 – 53. Disponible ici.
le lien est rompu
bonjour le lien des notes de la page 56 aux références « monstre féroce et abominable » → DA COSTA, U., 1624/1993, p. 49 (port.) et p. 307 (angl.).et sv est brisé ainsi que les suivants
Un récit vivant, coloré et pittoresque (notamment l’évocation d’Amsterdam au milieu du XVIIème siècle et de son marché au change), formidablement documenté et absolument passionnant, loin des abstractions desséchées d’une pensée pure et désincarnée, qui restitue la saveur et les enjeux d’une philosophie concrète et vivante, toujours actuelle, à bien des égards.
Merci beaucoup pour ce travail. Je serai intéressé de savoir comment accéder au documents de recherche qui, ai-je compris, sont la base de cet ouvrage semi romancer.
Apres avoir lu et relu les ouvres de Spinoza et de nombreux ouvrages sur sa vie et son oeuvre, votre livre apporte beaucoup d’éclairages utiles.
je n’ai pas lu votre livre et j’aimerais savoir s’il aborde des thèmes peu présents dans les ouvrages de Spinoza,
à savoir la place des femmes et des enfants dans son monde.
« Le clan Spinoza » m’a transportée dans le 17 éme siècle foisonnant de philosophes et de savants.
Et ce fut très enrichissant. La forme de roman rend accessible et vivant l’aspect historique très documenté du livre.
Cependant, à plusieurs reprises, au cours de ma lecture, je me suis fait la réflexion « l’auteur est catholique »…. Pourquoi ? Je ne saurais l’expliquer précisément. Simplement je suis un peu déçue du manque d’éléments concernant Spinoza lui-même : sa vie, son cheminement, sa pensée , son attitude face à la vie …. En comparaison, Stenon converti au catholicisme bénéficie de larges informations. C’est un peu comme si vous craigniez de mettre Spinoza au centre du récit et plutôt que de parler de lui vous parlez de ceux qui gravitent autour de lui.
Le titre m’a un peu trompée sur le contenu du livre. Néanmoins, si ma connaissance de Spinoza n’a pas augmenté, je suis ravie d’avoir côtoyé ses « amis ».
Je reste enchantée de cette immersion parmi les beaux esprits . Votre livre est riche et dense , vivant et nourrissant.
Bonjour,
J’ai lu votre livre avec grand intérêt. On vous suit très bien dans votre subtile façon de nous avertir de ce qui est documenté, de ce qui est probable et de ce qui est possible. C’est très vivant et le fourmillement d’informations, même si tout ne sera pas retenu, nous fait sentir le réel au travers de ce ouï-dire géant.
J’ai vu sur le net un article évoquant une bataille juridique féroce que Spinoza aurait livré afin de faire valoir son droit à l’héritage, mais ayant gagné il n’aurait gardé que le fameux lit parental. Est-ce farfelu?
Cordialement,
Pierre
Les fêtes de Noël ayant encore — en définitive — du bon, je me suis fait offrir « Le clan Spinoza » que je n’arrive plus à lâcher. Ce qui, n’en déplaise à ce cher Baruch, s’appelle un signe. J’avais déjà lu votre « Spinoza. Méthodes pour exister » que j’avais trouvé passionnant.
Je voulais d’autre part vous signaler, mais peut-être me trompé-je, une coquille aux pages 90 et 91 de votre ouvrage: en effet, lors de la découverte du corps de Uriel Da Costa, vous évoquez un certain Abraham Menses, au bas de la page 90, (« […] Elle ne concerna pas Da Costa mais un certain Abraham Menses […] ») puis première (« […] Abraham Menses […] »), quatrième (« […] le Mahamad a frappé Menses de hérem […] ») et huitième ligne de la page 91 (« […] Abraham Menses est contraint de lire […] »). Or, ce Menses se métamorphose subitement en Mendes (« […] Qu’il s’agisse de Mendes ou de Da Costa […] ») à la dix-huitième et vingt-cinquième ligne (« […] Abraham Mendes vit toujours à Amsterdam […] ») de cette même page 91. J’ai bien relu le texte, histoire de ne pas passer pour une bille, je ne comprends pas ce basculement du « s » au « d ». Peut-être pourrez-vous m’éclairer ?
Bien cordialement.
Je vous ai écouté sur France Culture, et ayant envie de découvrir Spinoza au plus près de sa vie, j’ai beaucoup envie de lire votre livre. J’ai cherché sur le web comment l’obtenir au format epub, si possible sans drm. En effet, j’ai, il y a quelques années, acheté des livres avec drm sans faire attention et ayant perdu la tablette originale pour laquelle j’avais téléchargé le livre, j’ai constaté qu’il n’était plus accessibles quelques temps après. C’est ce qui peut arriver avec les DRM.
Je trouve donc immoral (et cela va mal avec Spinoza) de proposer des livres avec DRM.
Ceci dit, n’ayant pas le choix, j’ai acheté votre livre sur youscribe, ce qui signifie que j’ai payé 14,99 € pour l’obtenir.
Un problème technique fait que je n’ai pas pu le télécharger pour le lire sur mon ordinateur.
Comment dois-je faire pour l’obtenir, sachant que la plate-forme youscribe ne me permet pas techniquement (un autre souci de l’outil) de laisser de message à contact (cela ne marche simplement pas).
Le nom de famille « Espinosa » est par origine juif- espagnol; vient de « espino », cela veut dire aubepine en français, et sa desidence « osa » veut dire abondance, une zone peuplé de aubepines. Lorsque la couronne mit sous son administration l’Amérique, baptisée alors « Castilla del Oro » avec la designation d »un gouverneur et de Gaspar de Espinosa, l’Alcalde Mayor, chargé de Justice en 1514, la banque Espinosa de Seville pris son essor, dirigé par frere Pedro. Le reseau banquaire s’etabli aussi a Nantes et Amsterdam, pour la conquete et commerce avec le nouveau continent. Pendant le regne de Philippe II, le cardinal Diego de Espinosa fut son premier ministre. Le pere y le grand pere de Baruch « Benito », no Bento en espagnol, avaient été a Nantes avant d’aller a Amsterdam. « Les Espinosa » par G. Lohman, S.E.V.P.E.N. Paris, 1968. Ces banquiers ont été en Espagne les emules de les Fugger et les Medicis.
Bonjour,
Merci de ces observations – toutes exactes, sauf celle sur le prénom. Bento de Spinoza s’appelle bien Bento, en espagnol/portugais, comme l’attestent les archives qui précisent le nom de l’entreprise que le philosophe et son frère cadet ont enregistrée, à la mort de leur père, sous l’appellation « Bento y Gabriel de Spinoza ». Voyez A. M. Vaz Dias et W. G. van der Tak, De firma Bento y Gabriel de Spinoza, Leiden : E.J. Brill, 1934.
le règlement de la synagogue d’Amsterdam m’a amusé car il m’a rappelé le règlement de la synagogue de peyrehorade cité par le rabbin ginsburg dans son histoire de la communauté juive de peyrehorade au 17 18 ème siècle paru dans la revue des études juives (fin 19ème siècle) ; il y est question de bavardages , de disputes …pendant l’office .
Le lien « en savoir plus » dans Les Hommes Du clan sur Spinoza renvoie à spinozaweb.com…ne serait ce pas .org?
J’achète votre Roman non fiction aujourd’hui et si vous êtes d’accord, je vous ferais part de mon « intuition ».
Bien cordialement…et déjà merci pour ça !
Marielle (Paris)
Je viens de commencer la lecture de votre livre le clan Spinoza. Il est passionnant et la forme du roman permet d’aborder les différentes thématiques de façon lisible pour le’ non specialiste.
Gérard Fitoussi
Merci ! Courage, les 100 premières pages sont les plus ardues. Une fois posé le décor, les fleuves confluent et divergent de manière plus fluide. Hâte d’avoir votre avis sur la suite – en particulier sur l’impact de la médecine en métaphysique…
ISRAEL, Jonathan Irvine, 2007. « Spinoza as an Expounder, Critic, and “Reformer” of Descartes », Intellectual History Review, n. 17.1, p. 41 – 53. Disponible ici.
le lien est rompu
bonjour le lien des notes de la page 56 aux références « monstre féroce et abominable » → DA COSTA, U., 1624/1993, p. 49 (port.) et p. 307 (angl.).et sv est brisé ainsi que les suivants
Un récit vivant, coloré et pittoresque (notamment l’évocation d’Amsterdam au milieu du XVIIème siècle et de son marché au change), formidablement documenté et absolument passionnant, loin des abstractions desséchées d’une pensée pure et désincarnée, qui restitue la saveur et les enjeux d’une philosophie concrète et vivante, toujours actuelle, à bien des égards.
Félicitations à l’auteur pour ce livre aussi original que passionnant. J’en ai fait un modeste compte-rendu sur mon blog. (cf. lien ci-dessous)
Bellissimo blog, lo seguirò con attenzione.
Merci beaucoup pour ce travail. Je serai intéressé de savoir comment accéder au documents de recherche qui, ai-je compris, sont la base de cet ouvrage semi romancer.
Apres avoir lu et relu les ouvres de Spinoza et de nombreux ouvrages sur sa vie et son oeuvre, votre livre apporte beaucoup d’éclairages utiles.
Bonjour M. Rovère,
je n’ai pas lu votre livre et j’aimerais savoir s’il aborde des thèmes peu présents dans les ouvrages de Spinoza,
à savoir la place des femmes et des enfants dans son monde.
Cordialement
« Le clan Spinoza » m’a transportée dans le 17 éme siècle foisonnant de philosophes et de savants.
Et ce fut très enrichissant. La forme de roman rend accessible et vivant l’aspect historique très documenté du livre.
Cependant, à plusieurs reprises, au cours de ma lecture, je me suis fait la réflexion « l’auteur est catholique »…. Pourquoi ? Je ne saurais l’expliquer précisément. Simplement je suis un peu déçue du manque d’éléments concernant Spinoza lui-même : sa vie, son cheminement, sa pensée , son attitude face à la vie …. En comparaison, Stenon converti au catholicisme bénéficie de larges informations. C’est un peu comme si vous craigniez de mettre Spinoza au centre du récit et plutôt que de parler de lui vous parlez de ceux qui gravitent autour de lui.
Le titre m’a un peu trompée sur le contenu du livre. Néanmoins, si ma connaissance de Spinoza n’a pas augmenté, je suis ravie d’avoir côtoyé ses « amis ».
Je reste enchantée de cette immersion parmi les beaux esprits . Votre livre est riche et dense , vivant et nourrissant.
Bonjour,
J’ai lu votre livre avec grand intérêt. On vous suit très bien dans votre subtile façon de nous avertir de ce qui est documenté, de ce qui est probable et de ce qui est possible. C’est très vivant et le fourmillement d’informations, même si tout ne sera pas retenu, nous fait sentir le réel au travers de ce ouï-dire géant.
J’ai vu sur le net un article évoquant une bataille juridique féroce que Spinoza aurait livré afin de faire valoir son droit à l’héritage, mais ayant gagné il n’aurait gardé que le fameux lit parental. Est-ce farfelu?
Cordialement,
Pierre
L’illusion comique, c’est plutôt PIERRE Corneille, si je ne m’abuse
que celui qui n’a jamais péché vous jette la première pierre…
bien à vous
L’illusion comique, c’est plutôt PIERRE Corneille, si je ne m’abuse
que celui qui n’a jamais péché vous jette la première pierre…
bien à vous
Bonjour,
Les fêtes de Noël ayant encore — en définitive — du bon, je me suis fait offrir « Le clan Spinoza » que je n’arrive plus à lâcher. Ce qui, n’en déplaise à ce cher Baruch, s’appelle un signe. J’avais déjà lu votre « Spinoza. Méthodes pour exister » que j’avais trouvé passionnant.
Je voulais d’autre part vous signaler, mais peut-être me trompé-je, une coquille aux pages 90 et 91 de votre ouvrage: en effet, lors de la découverte du corps de Uriel Da Costa, vous évoquez un certain Abraham Menses, au bas de la page 90, (« […] Elle ne concerna pas Da Costa mais un certain Abraham Menses […] ») puis première (« […] Abraham Menses […] »), quatrième (« […] le Mahamad a frappé Menses de hérem […] ») et huitième ligne de la page 91 (« […] Abraham Menses est contraint de lire […] »). Or, ce Menses se métamorphose subitement en Mendes (« […] Qu’il s’agisse de Mendes ou de Da Costa […] ») à la dix-huitième et vingt-cinquième ligne (« […] Abraham Mendes vit toujours à Amsterdam […] ») de cette même page 91. J’ai bien relu le texte, histoire de ne pas passer pour une bille, je ne comprends pas ce basculement du « s » au « d ». Peut-être pourrez-vous m’éclairer ?
Bien cordialement.
Pûûûûûûtain Maxime, il fouette ton bouquin.
Il donne du courage, de l’énergie et de la joie. C’est du carburant pour le moteur de la vie!
Bonjour,
Je vous ai écouté sur France Culture, et ayant envie de découvrir Spinoza au plus près de sa vie, j’ai beaucoup envie de lire votre livre. J’ai cherché sur le web comment l’obtenir au format epub, si possible sans drm. En effet, j’ai, il y a quelques années, acheté des livres avec drm sans faire attention et ayant perdu la tablette originale pour laquelle j’avais téléchargé le livre, j’ai constaté qu’il n’était plus accessibles quelques temps après. C’est ce qui peut arriver avec les DRM.
Je trouve donc immoral (et cela va mal avec Spinoza) de proposer des livres avec DRM.
Ceci dit, n’ayant pas le choix, j’ai acheté votre livre sur youscribe, ce qui signifie que j’ai payé 14,99 € pour l’obtenir.
Un problème technique fait que je n’ai pas pu le télécharger pour le lire sur mon ordinateur.
Comment dois-je faire pour l’obtenir, sachant que la plate-forme youscribe ne me permet pas techniquement (un autre souci de l’outil) de laisser de message à contact (cela ne marche simplement pas).
En vous remerciant,
Le nom de famille « Espinosa » est par origine juif- espagnol; vient de « espino », cela veut dire aubepine en français, et sa desidence « osa » veut dire abondance, une zone peuplé de aubepines. Lorsque la couronne mit sous son administration l’Amérique, baptisée alors « Castilla del Oro » avec la designation d »un gouverneur et de Gaspar de Espinosa, l’Alcalde Mayor, chargé de Justice en 1514, la banque Espinosa de Seville pris son essor, dirigé par frere Pedro. Le reseau banquaire s’etabli aussi a Nantes et Amsterdam, pour la conquete et commerce avec le nouveau continent. Pendant le regne de Philippe II, le cardinal Diego de Espinosa fut son premier ministre. Le pere y le grand pere de Baruch « Benito », no Bento en espagnol, avaient été a Nantes avant d’aller a Amsterdam. « Les Espinosa » par G. Lohman, S.E.V.P.E.N. Paris, 1968. Ces banquiers ont été en Espagne les emules de les Fugger et les Medicis.
Bonjour,
Merci de ces observations – toutes exactes, sauf celle sur le prénom. Bento de Spinoza s’appelle bien Bento, en espagnol/portugais, comme l’attestent les archives qui précisent le nom de l’entreprise que le philosophe et son frère cadet ont enregistrée, à la mort de leur père, sous l’appellation « Bento y Gabriel de Spinoza ». Voyez A. M. Vaz Dias et W. G. van der Tak, De firma Bento y Gabriel de Spinoza, Leiden : E.J. Brill, 1934.
le règlement de la synagogue d’Amsterdam m’a amusé car il m’a rappelé le règlement de la synagogue de peyrehorade cité par le rabbin ginsburg dans son histoire de la communauté juive de peyrehorade au 17 18 ème siècle paru dans la revue des études juives (fin 19ème siècle) ; il y est question de bavardages , de disputes …pendant l’office .
petit correctif : l’auteur de l’histoire de peyrehorade est ernest ginsburger ; le numéro de la REJ est : 4-104 année 1938 .
Bonjour Monsieur ROVERE,
Le lien « en savoir plus » dans Les Hommes Du clan sur Spinoza renvoie à spinozaweb.com…ne serait ce pas .org?
J’achète votre Roman non fiction aujourd’hui et si vous êtes d’accord, je vous ferais part de mon « intuition ».
Bien cordialement…et déjà merci pour ça !
Marielle (Paris)
Merci de votre observation, nous allons tâcher de corriger ça. Et nous attendrons vos nouvelles remarques !
Je viens de commencer la lecture de votre livre le clan Spinoza. Il est passionnant et la forme du roman permet d’aborder les différentes thématiques de façon lisible pour le’ non specialiste.
Gérard Fitoussi
Merci ! Courage, les 100 premières pages sont les plus ardues. Une fois posé le décor, les fleuves confluent et divergent de manière plus fluide. Hâte d’avoir votre avis sur la suite – en particulier sur l’impact de la médecine en métaphysique…